Allée Couverte de l’Ile-Grande

L’allée couverte de l’Ile-Grande, appelée aussi allée couverte de Ty Lia, à Pleumeur-Bodou date de 2 300 av. J.-C. Elle mesure 8,5 m de long et 1,6 m de large. Cette allée couverte en granite, dite courte (contrairement aux allées couvertes arc-boutées qui ont des parois inclinées), se situe à 35 mètres d’altitude et est orientée Est-Ouest. Elle comprend un vestibule et une chambre funéraire formée de deux parois parallèles (4 piliers au nord, 5 piliers au sud). La hauteur des dalles varie de 1m à 1m40.

Deux grandes tables assurent la couverture du monument. L’allée couverte est entourée de dalles très hautes, structures particulières aux monuments de l’Ile-Grande et de Keryvon. On les interprète comme étant une paroi intermédiaire à l’intérieur du tertre et dont le but était sans doute de retenir la terre du tumulus.

Quatre campagnes de fouilles furent effectuées en 1866, 1868, 1909 et 1910. Le matériel découvert, aujourd’hui perdu, comportait : 4 haches polies, des éclats de silex, des tessons décorés, de la poterie noire, un disque de bronze et un objet en fer.

Comme de nombreux sites bretons, l’allée couverte de l’île Grande a elle aussi sont lot de légendes. Une vieille femme, née en 1800, racontait que des lépreux, dans les temps anciens, avaient habité le dolmen de l’Ile-Grande. On leur donnait à manger avec une fourche.

Selon une autre tradition, le dolmen est habité par des Kornandounezed, des naines, qui aiment, les nuits de pleine lune, danser avec les passants. Si l’on s’exécute de bonne grâce, elles vous annoncent que vous aurez un garçon et qu’il n’y aura pas besoin, pour sa naissance, d’aller chercher une sage-femme.

L’allée couverte de l’Ile-Grande, appelée aussi allée couverte de Ty Lia, à Pleumeur-Bodou date de 2 300 av. J.-C. Elle mesure 8,5 m de long et 1,6 m de large. Cette allée couverte en granite, dite courte (contrairement aux allées couvertes arc-boutées qui ont des parois inclinées), se situe à 35 mètres d’altitude et est orientée Est-Ouest. Elle comprend un vestibule et une chambre funéraire formée de deux parois parallèles (4 piliers au nord, 5 piliers au sud). La hauteur des dalles varie de 1m à 1m40.

Deux grandes tables assurent la couverture du monument. L’allée couverte est entourée de dalles très hautes, structures particulières aux monuments de l’Ile-Grande et de Keryvon. On les interprète comme étant une paroi intermédiaire à l’intérieur du tertre et dont le but était sans doute de retenir la terre du tumulus.

Quatre campagnes de fouilles furent effectuées en 1866, 1868, 1909 et 1910. Le matériel découvert, aujourd’hui perdu, comportait : 4 haches polies, des éclats de silex, des tessons décorés, de la poterie noire, un disque de bronze et un objet en fer.

Comme de nombreux sites bretons, l’allée couverte de l’île Grande a elle aussi sont lot de légendes. Une vieille femme, née en 1800, racontait que des lépreux, dans les temps anciens, avaient habité le dolmen de l’Ile-Grande. On leur donnait à manger avec une fourche.

Selon une autre tradition, le dolmen est habité par des Kornandounezed, des naines, qui aiment, les nuits de pleine lune, danser avec les passants. Si l’on s’exécute de bonne grâce, elles vous annoncent que vous aurez un garçon et qu’il n’y aura pas besoin, pour sa naissance, d’aller chercher une sage-femme.

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