Château de Tonquédec

Tonquédec

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Au cœur d’une forêt merveilleuse, sur un éperon rocheux dominant le Léguer, se dressent les ruines du château de Tonquédec, avec leurs onze tours et leur enceinte close. C’est un véritable vestige de la Bretagne féodale.

Le début de la construction remonte au 12ème siècle par la famille de Coëtmen-Penthièvre, puînée des ducs de Bretagne. Il a été démantelé sur ordre du duc Jean IV en l’an 1395 à cause d’un conflit l’opposant aux Penthièvre.

La reconstruction de l’édifice débute à partir de 1406 par Roland IV de Coëtmen, grâce au duc de Bourgogne Jean Sans Peur. Il est ensuite passé, au gré des successions, chez les sires d’Acigné puis Goyon de La Moussaye, avant d’être classé comme place forte pour l’artillerie en 1577.

Le château, considéré comme dangereux pour le pouvoir royal, est finalement démantelé vers 1626 sur ordre de Richelieu. Par égard au loyalisme des Gouyon de La Moussaye, seigneurs de Tonquédec à l’époque, le château sera démantelé mais pas entièrement rasé.

La ruine est acquise en 1636 par René du Quengo, qui prend alors le nom de Quengo de Tonquédec. Vers 1801, les Du Quengo, très endettés, doivent vendre Tonquédec.

Enfin, en 1880, le marquis de Kéroüartz achète le château pour le donner à sa fille et son gendre Pierre de Rougé à l’occasion de leur mariage, la famille de Rougé descendant en ligne directe des seigneurs de Coëtmen, bâtisseurs de l’édifice, et les Rougé ayant ainsi été les derniers barons de Coëtmen avant la Révolution.
Depuis lors, le château est resté propriété des comtes de Rougé qui, génération après génération, restaurent peu à peu l’édifice et l’ont entièrement ouvert à la visite.
Il est classé au titre des Monuments Historiques depuis 1862.

On accède à la résidence seigneuriale depuis la basse-cour par une porte charretière et une porte piétonne équipée chacune d’un pont-levis, encadré par deux tours saillantes.

Au cœur d’une forêt merveilleuse, sur un éperon rocheux dominant le Léguer, se dressent les ruines du château de Tonquédec, avec leurs onze tours et leur enceinte close. C’est un véritable vestige de la Bretagne féodale.

Le début de la construction remonte au 12ème siècle par la famille de Coëtmen-Penthièvre, puînée des ducs de Bretagne. Il a été démantelé sur ordre du duc Jean IV en l’an 1395 à cause d’un conflit l’opposant aux Penthièvre.

La reconstruction de l’édifice débute à partir de 1406 par Roland IV de Coëtmen, grâce au duc de Bourgogne Jean Sans Peur. Il est ensuite passé, au gré des successions, chez les sires d’Acigné puis Goyon de La Moussaye, avant d’être classé comme place forte pour l’artillerie en 1577.

Le château, considéré comme dangereux pour le pouvoir royal, est finalement démantelé vers 1626 sur ordre de Richelieu. Par égard au loyalisme des Gouyon de La Moussaye, seigneurs de Tonquédec à l’époque, le château sera démantelé mais pas entièrement rasé.

La ruine est acquise en 1636 par René du Quengo, qui prend alors le nom de Quengo de Tonquédec. Vers 1801, les Du Quengo, très endettés, doivent vendre Tonquédec.

Enfin, en 1880, le marquis de Kéroüartz achète le château pour le donner à sa fille et son gendre Pierre de Rougé à l’occasion de leur mariage, la famille de Rougé descendant en ligne directe des seigneurs de Coëtmen, bâtisseurs de l’édifice, et les Rougé ayant ainsi été les derniers barons de Coëtmen avant la Révolution.
Depuis lors, le château est resté propriété des comtes de Rougé qui, génération après génération, restaurent peu à peu l’édifice et l’ont entièrement ouvert à la visite.
Il est classé au titre des Monuments Historiques depuis 1862.

On accède à la résidence seigneuriale depuis la basse-cour par une porte charretière et une porte piétonne équipée chacune d’un pont-levis, encadré par deux tours saillantes.

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22140 Tonquédec

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