Les menhirs de Kergornec
Saint-Gilles-Pligeaux
Au lieu-dit de Kergonec à Saint-Gilles-Pligeaux, un ensemble de menhirs du néolithique se dresse sur ce promontoire surplombant le vallon du Sulon.
Le plus grand de ces menhir, haut de 7.10m, est surnommé « la chandelle » du fait de sa silhouette fusiforme élancée et régulière. Il est accompagné en contrebas d’un menhir plus trapus, appelé « le pâtre », haut de 4 mètres. Comme l’indique son surnom, les habitants l’avaient intégrés dans leurs tâches quotidiennes, notamment la fonction de gardien de bétail.
Les deux menhirs sont distants d’environ 300 mètres, au lieu-dit Kergornec.
Contemporaines des dolmens et allées couvertes, ces pierres dressées ont été érigées durant le Néolithique entre 5000 et 2000 ans avant notre ère, période du développement de l’agriculture et de l’élevage, de la sédentarisation des populations et de l’émergence des grandes constructions en bois ou en pierres.
Au lieu-dit de Kergonec à Saint-Gilles-Pligeaux, un ensemble de menhirs du néolithique se dresse sur ce promontoire surplombant le vallon du Sulon.
Le plus grand de ces menhir, haut de 7.10m, est surnommé « la chandelle » du fait de sa silhouette fusiforme élancée et régulière. Il est accompagné en contrebas d’un menhir plus trapus, appelé « le pâtre », haut de 4 mètres. Comme l’indique son surnom, les habitants l’avaient intégrés dans leurs tâches quotidiennes, notamment la fonction de gardien de bétail.
Les deux menhirs sont distants d’environ 300 mètres, au lieu-dit Kergornec.
Contemporaines des dolmens et allées couvertes, ces pierres dressées ont été érigées durant le Néolithique entre 5000 et 2000 ans avant notre ère, période du développement de l’agriculture et de l’élevage, de la sédentarisation des populations et de l’émergence des grandes constructions en bois ou en pierres.
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